Mulhouse
Xof, notre reporter de Taborchannel, a interrogé les jeunes pour « THE CHRISTIAN MESSENGER » :
Xof : Bon alors les petits gars ; qu'est-ce qu'il avait de spécial le culte de ce dimanche ?
Mayo : Il était concocté par notre GDJ et c'était bien !!
Xof : Qu'est-ce que vous vouliez apporter ?
Arthur : Beaucoup de choses.
Xof : Mais encore ?
Antoine : Le thème était : « Dieu et moi demain ».
Flo : Autrement dit qu'est-ce que l'avenir nous réserve ? Comment l'aborder avec ou sans Dieu ?
Xof : Et ce thème comment l'avez vous traité ?
Cédric : Par différents sketches, mimes, chants.
Gaétan : (frère jumeau de Cédric) Et je dirais même plus : par différents mimes, sketches et chants.
Chti'nono : Notre culte s'est déroulé en plusieurs phases. Premièrement : sage ou insensé, tu meurs pareillement (cf. Ec 2.12-17).
Timo : Deuxièmement : Rien ne sert de courir après les 1000 choses de la vie, il faut suivre le « seul chemin ».
Henri : La vie avec Dieu nécessite quand même quelques efforts (cf. Ph 3.12-16).
Gaétan : Mais Dieu connaît nos limites et il ne nous demande pas plus que le devoir de l'heure présente (Mt 6.25-34).
Xof : Et que vouliez-vous que l'assemblée en retienne ?
Gentiane : Apprendre à vivre avec Dieu
Anneli : au quotidien
Antoine : et dans sa vie future.
Xof : Quant à moi j'ai reçu cet appel : Tenir Dieu pour essentiel et le reste pour accessoire.
Top : Plus que 12 mois pour préparer le prochain culte
Bischwiller
J'aimerais partager avec vous la méditation qui nous a été donnée dernièrement au groupe de jeunes et qui nous a fait beaucoup réfléchir.
Elle était axée sur l'amour que nous avons pour Jésus et l'amour que nous donnons autour de nous.
Pour cela je vais vous raconter cette petite histoire qui m'a beaucoup plu et qui illustre ce verset que nous connaissons tous :
«Pour nous, nous l'aimons parce qu'il nous a aimés le premier» (1Jean 4.19)
Au moment de l'invasion de l'Europe orientale par l'armée soviétique, un officier russe fut logé chez un artiste- peintre qui, frappé par l'expression dégagée par sa physionomie, le prit pour modèle d'une de ses toiles.
Tandis qu'il posait, l'officier tourna son regard sur un tableau représentant Jésus crucifié.
Il finit par questionner le peintre au sujet du personnage figurant sur cette toile. L'artiste répondit brièvement, mais l'officier insista :
- « S'il était aussi bon et voulait véritablement le salut de tous pour l'éternité, des hommes l'auraient sûrement descendu de la croix et auraient pansé ses blessures ».
- «Je vous prie de ne pas me déranger pendant que je travaille», s'exclama le peintre, quelque peu agacé. «Non, on ne l'a pas libéré. Il est mort sur la croix. Et c'est ce qui devait arriver. Il a payé le prix de nos péchés. Mais laissez-moi continuer mon travail!»
L'officier russe n'en resta pas là et ajouta :
- «Vous devez aimer d'un ardent amour quelqu'un qui a fait un tel sacrifice pour vous!»
Le peintre posa alors son pinceau. Souvent, il avait représenté Jésus en croix et voilà que, soudain, il comprenait qu'il ne l'avait jamais fait avec un amour passionné. Un incroyant, son modèle imprévu, venait de lui apprendre comment aimer le Christ
Voici les quelques questions que nous nous sommes posées, chacun peut y répondre personnellement.
- Vous est-il déjà arrivé de dire à Dieu que vous l'aimez
- Quelles raisons avons-nous d'aimer Dieu?
- Comment se traduit cet amour dans notre vie de tous les jours?
- Est-ce que les autres remarquent quelque chose de cet amour?
Bonne méditation !
Myriam SCHOTT