La page des jeunes

Colmar-Muntzenheim

Témoignage n° 1:
Que dire du Groupe de Jeunes (GdJ pour les intimes) ? Pour moi, c'est un peu comme ma deuxième famille. On se connaît depuis longtemps, on partage les mêmes moments forts (comme le nouvel an ! ) et surtout la même foi. Je pense qu'il est vraiment primordial de consolider ces liens, surtout sachant que nous sommes l'avenir de la communauté. Nos activités sont assez variées et la bonne humeur est toujours au rendez-vous.Le GdJ recharge nos batteries pour la semaine, nous aide à rester ancrés en Dieu et à témoigner dans nos études ou notre travail.

Au GdJ, nous sommes tous différents, ceux qui aiment beaucoup rire (et nous avons de bons spécimens), ceux qui aiment chanter, etc. Mais ensemble, nous formons un tout, notre foi grandit.
Si vous aussi, vous avez cette possibilité, saisissez-la !

Pauline O.
Témoignage n° 2:
Le GdJ, quelle aventure extraordinaire ! Eh oui, on peut bien parler d'aventure. Au début de mon aventure (c'est-à-dire il y a 3 ans maintenant), le GdJ était un groupe de personnes qui se connaissaient plus ou moins et qui se retrouvaient les samedis soirs. Mais au fil du temps, des amitiés se sont tissées. Du coup, maintenant, notre GdJ est un groupe d'amis qui se retrouvent le week-end, mais aussi beaucoup pendant les vacances. Bref, c'est tout juste si on se quitte encore !
Le GdJ m'a beaucoup aidée dans ma vie de chrétienne. Les relations amicales, mais aussi spirituelles m'ont permis de passer des moments inoubliables avec des amis mais aussi surtout dans la présence de Dieu. En tant que chrétiens, c'est une aventure avec Dieu, une route que lui trace pour nous, un avancement et des pas en sa compagnie.
En tout cas, le GdJ m'apporte beaucoup, plus encore que vous ne pouvez l'imaginer : la confiance, la joie de se retrouver ensemble, de mêmes horizons, partageant la même passion : Dieu. Le bonheur de pouvoir partager nos joies et nos peines, nos cheminements avec notre Sauveur, prêts à parcourir ensemble les moments les plus difficiles.
Et vraiment MERCI à Dieu de m'avoir donné la joie de faire partie du GdJ.
Béatrice B.

Témoignage n° 3:
Les moments qu'il m'a été donné de vivre ces derniers temps au GdJ ne sont pas des moindres parmi les événements qui ont ponctué ma vie.
Je trouve aujourd'hui dans le GdJ le soutien qui me permet d'avancer avec Dieu, notre Seigneur. Sans pour autant mettre à l'écart les moments de détente, nous nous adonnons à des moments de discussion autour de la Bible. Très riches, ces derniers nous procurent une nouvelle vitalité, revigorante pour la semaine....
Jonathan J.


Témoignage n° 4:
Ce que je voulais exprimer, c'est le lien qui unit le GdJ, car dans la société dans laquelle nous vivons nous avons tendance à oublier les vraies valeurs.
D'habitude nous portons plus d'importance à notre avenir, aux choses incertaines. Alors qu'à côté de nous se trouve un amour inébranlable : celui de notre Père. Il nous donne cet amour pour le transmettre à notre prochain. C'est cet amour que l'on ressent au GdJ. 
Un verset pourrait résumer ce bien-être : « Ah, qu'il est agréable d'être avec nos frères ensemble » (Psaume 133.1).
Salomé B.

Strasbourg-Sion

Comment se passaient les samedis soirs il y a plusieurs dizaines d'années ? Sans GdJ, je veux dire. 
...Je sais, c'est dur, mais essayez tout de même d'imaginer. Probablement que les gens lisaient, jouaient aux cartes, se parlaient, se recevaient (ça c'est la version optimiste), ou que nos grands-parents désoeuvrés tentaient de s'occuper en surveillant la voisine par la fenêtre de la cuisine. Mais, depuis que le GdJ est apparu dans nos vies, nous sommes sous «anesthésie locale tous les samedis soirs. Jugez plutôt : Le programme 2003 de Sion a débuté mi-janvier, lors d'une soirée de profond partage sur nos vécus respectifs des fêtes de Noël et du passage à la nouvelle année avec un tour d'horizon de nos sujets de reconnaissance et des «bonnes résolutions», l'une d'entre elles étant de ne plus en prendre justement, histoire d'en tenir enfin une !!! Et puis la traditionnelle galette des rois est venue départager les prétendant(e)s à la corvée vaisselle...

Autre fait marquant : nos célèbres « jeux débiles » seront désormais appelés «jeuzédélires», ce que les jeunes se sont bien évidemment empressés d'inaugurer à l'occasion de leur soirée préparée et animée par eux-mêmes avec beaucoup d'ingéniosité.
Le mois suivant a vu l'arrivée de la « fête de la lumière », plus communément appelée « Chandeleur » ou encore « Fais sauter les crêpes» ! Avant d'entamer le moment défoule, en musique. Le rendez-vous était fixé à Ebersheim souvenez-vous !

Une fois n'est pas coutume, cette chronique ne fera pas que revenir sur nos petites marottes de ce début d'année, mais vous propose un concentré de vie du millésime 2003, et ça me ravit ! Bienvenue dans le futur !!! en commençant par notre « Soirée Choco Discute », alias SCD. Alors question : lorsqu'un débat muet rencontre un bon bol de chocolat chaud, sur quoi peut bien porter la discussion ? Nous vous donnerons des nouvelles par notre contact habituel.
Sinon votre passion c'est quoi? Je veux dire en dehors de ces heures délicieuses que vous passez à ranger vos cours ou à trier les dossiers de votre adorable patron? Les siestes? Le jardinage? La belote? Les jeunes de Sion, quant à eux, ont pour hobby de faire des matchs d'impro. Ce sera LA soirée tant attendue de ce mois-ci ! 
«She loves you, yeh, yeh, yeh» Et vous, que pensez-vous de l'amour ? Rien que du bonheur, quelque chose d'effrayant ou que des ennuis en perspective Voilà une belle occasion d'en discuter avec notre pasteur René LAMEY.
Dernière ligne droite avant l'été et après une mise en forme imposée (comprenez notre participation au ménage des locaux), une « American Soiry », avec menu « Mac Do » à la clé, parce que s'il y a une chose que les Américains aiment et savent faire, ce sont les happy ends. Ce sont eux les inventeurs du concept. Dans les films, ils aiment 2 choses : que les méchants soient clairement désignés sans qu'on les confonde avec les héros. Et que le héros, une fois son devoir accompli, fasse tourner son pistolet dans la main droite avant de se diriger vers de nouvelles aventures assis sur son fidèle compagnon, pendant que le soleil se couche à l'horizon (NDLR : cf. Lucky Luke). Eh bien, à Sion, c'est pareil ! Récapitulons :
Avant de se quitter, grandes vacances obligent, les Strasbourgeois iront faire une sortie escalade, une sortie « cyclo », une sortie « ciné », une « méga teck » avant le barbecue final, pour fêter les vacances, brûler les livres et feuilles de cours en même temps que les saucisses si on y tient et accueillir les nouveaux catéchumènes ! Cet été, grillons, grillades, huile solaire et huile d'olive à volonté.
Cécile et Anne.