La vie de nos oeuvres (2)

Congrégation Béthesda

Sœur Annette Joseph


Journée à marquer d’une pierre blanche, le 18 septembre à l’occasion du culte de consécration de Sœur Louise Muller.


Quels bons moments avons-nous vécus à Strasbourg en ce dimanche après-midi du 18 septembre 2011 ! Au lieu de se passer dans la fraîcheur d’une grande église, le culte de consécration de Sœur Louise Muller a eu lieu au 21 quai Zorn dans la chapelle du Home Bethesda.

Relevons de suite le talent et l’engagement des trois musiciens : Grace Gan au piano, Catherine Pfeiffer flûte traversière et Samuel Duby violon. Du début à la fin de la célébration, ils nous ont entraînés dans une joyeuse louange, entrecoupée de lectures bibliques.

L’aumônier du Home, le pasteur Bernard Lehmann, a orchestré toute la fête avec brio et prononcé la bénédiction finale. Notre surintendant Etienne Rudolph a évoqué, selon le texte de 1Pi 5.1-4, les tâches et les responsabilités d’un berger. Un berger n’est pas seul s’il s’appuie sur Celui qui est le Bon Berger !

Un interlude au piano a précédé ce qui fut au cœur de cette belle heure : la consécration officielle de Sœur Louise Muller comme Supérieure de la Congrégation des Sœurs de Bethesda. Choisie par ses consœurs, elle a accepté cette charge. Notre évêque en retraite, Heinrich Bolleter a évoqué ses futures tâches et l’a bénie pour ce ministère d’unité et de direction.


Puis en réponse à son engagement, les sœurs lui ont chanté le cantique qu’elle avait souhaité :

« Mon Sauveur m’aime » (N° 535 Ailes de la foi) avec le refrain prenant, « Jésus, Jésus, qui peut sonder ton amour ? Jésus, Jésus, je t’aime en retour ».

Dans l’assemblée se remarquaient 2 sœurs du Diaconat Hohrodberg et 2 autres diaconesses de la Congrégation du Neuenberg, plusieurs pasteurs retraités, Marc Berger, le Président de l’UEEMF, ainsi que de multiples amis venus de près et de loin. C’est avec joie que nous les avons salués par la suite, lors d’une réception.

Nous espérons que ceux qui n’ont pas pu se joindre à nous en ce jour pourront peut-être assister aux prochaines conférences du Home.

C’est au nom de mes consœurs que je vous salue.

La vie de nos oeuvres